2019-2020 | dans le cadre du Conseil des Arts de Montréal en tournée:

  1. 12/12/19 > 26/01/19 ➡︎ Maison de la culture du Plateau Mont-Royal

  2. 06/02/20 > 29/03/20 ➡︎ Maison Pierre Chartrand • Maison de la culture de Rivière-des-Prairies

  3. 25/04/20 > 14/06/20➡︎ Quai 5160 • Maison de la culture de Verdun

 

2018 | Galerie d’art R3 – UQTR, Trois-Rivières (QC_CA)

Cinétique est une exposition en arts numériques de la série RE•TOUR qui s’inscrit dans une démarche de démystification des pratiques artistiques les plus actuelles auprès des publics. Si la désindustrialisation est devenue un phénomène culturel au tournant du siècle dernier, il a surtout fait place à l’avènement du numérique qui a insufflé de nouvelles pratiques sociales, économiques et culturelles. Ce nouveau postulat se conjugue d’une démocratisation des modes de production et d’une appropriation domestique des technès qui s’y rattachent. Dans la pratique artistique, il s’actualise dans une production de contenu qui s’inscrit volontairement en marge de marchés possibles ou existants de l’art et de la consommation culturelle. Mais surtout, il récupère les outils et les savoir-faire d’une époque possiblement révolue. Ces réinterprétations artistiques, voire ces réaffectations, de procédés industriels, corporatifs, mais aussi scientifiques, expriment-elles une individualisation post-industrielle exacerbée ou une participation active et résolue à cette dilution enclenchée de notre tissu industriel ?

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mars 2019 | rustines_lab, Montréal (QC-CA)

octobre 2019 | Lab30, Augsbourg (DE)

Issus des arts visuels et numériques, de la musique électronique ainsi que de l’internet art, Pascale LeBlanc Lavigne, Lucas Paris et Roby Provost-Blanchard sont les participants du programme Projet émergent de perte de signal. Devant leur désir d’allier leurs pratiques divergentes en une installation commune et cohérente, les artistes explorent et interrogent la transduction entre les médiums via différentes œuvres dialoguant d’un thème commun.

Ainsi, leur projet Transposition propose l’interprétation d’un mouvement organique complexe, soit celui du battement des ailes d’un oiseau, vers un mouvement mécanique simple, de manière à réduire le mouvement à son essence. Leur exploration se présente sous la forme d’installations interdisciplinaires qui cherche à faire dialoguer sculptures cinétiques, art sonore, light art, et simulations.

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2018 | Biennale Chroniques, Marseille (FR)

Le souffle est cette respiration essentielle, cet appel de l’air qui invite à ralentir, qui fait vivre aussi – détail non négligeable. À une époque – la nôtre – où le temps et le souffle se fait court, où nous courons après notre air comme s’il s’agissait d’un vent contraire, un arrêt s’impose.

Du 8 au 19 novembre 2018, les œuvres de Rosalie Dumont-Gagné et Alexis Bellavance seront présentées à Marseille (FR) à la Galerie Hors les Murs dans le cadre de la biennale CHRONIQUES – Biennale des imaginaires numériques.

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2017 | Galerie des grands bains douches de la Plaine, Marseille (FR)

Au-delà de l’a priori que le silence fait référence à l’absence de sons, micro silence invite à vivre un moment suspendu au sein d’une ambiance remplie de murmures, réel flot continu de bourdonnements et de bruissements composés de petits sons amplifiés dans l’espace. L’événement micro silence présente les œuvres des artistes québécois Alice Jarry et Vincent Evrard, Myriam Bessette et Claudette Lemay, ainsi que celles des artistes français Oussama Tabti, Patrice Caillet, Adam David, Matthieu Saladin, Dominique Blais, Lucien Gaudion.

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2017 | Musée régional de la Côte-Nord, Sept-îles (QC_CA)

2015 | Centre d’exposition Léo-Ayotte, Shawinigan (QC_CA)

2014 | Centre de diffusion L’imagier, Gatineau (QC_CA)

RÉENCODAGES regroupe des œuvres installatives et vidéographiques de Sofian Audry, Stephanie Castonguay, Claudette Lemay et Samuel St-Aubin qui évoquent l’univers des oiseaux de manière contemporaine et expérimentale. Les œuvres intègrent chacune à leur manière une parcelle de nature et mettent en perspective le décalage entre le réel et sa reproduction, le naturel et le construit.

Utilisant des moyens techniques actuels, elles explorent cet espace de fiction avec humour, tantôt en intégrant dans le lieu des modules électroniques interactifs qui évoquent d’étranges oiseaux, ou en multipliant les exercices de traduction de chants d’oiseaux avec la voix humaine. Qu’elle soit sonore ou visuelle, la figure de l’oiseau est ici réencodée, réinterprétée et simulée, devenant un objet poétique que le spectateur peut investir de son propre imaginaire.

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2015 | Kunst Kraft Werk, Leipzig (DE)

2011-2012 | Trois-rivieres, Amos, Jonquière (QC_CA)

artistes:

Myriam Bessette | Martin Messier | Jonathan Villeneuve | Pavitra Wickramasinghe | Samuel St-Aubin | Nicolas Bernier | Jason Arsenault | Claudette Lemay | Martine Lauzier | Erick d’Orion | Amélie Brisson-Darveau | Darsha Hewitt 

 

commissaires :

  • Julie Bélisle
  • Ariane De Blois

À la fois un clin d’œil et un hymne aux premières expérimentations mécaniques menant à la naissance de l’enregistrement audio et à la genèse du cinématographe, la nouvelle mouture de l’exposition LA MÉCANIQUE DE L’OBJET rassemble des œuvres qui revisitent, de façon contemporaine et avec les moyens techniques actuels, des créations ou inventions anciennes dans une exposition de travaux récents d’artistes émergents et établis des arts numériques.

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2013 | Occurrence, Montréal (QC_CA)

artistes:

 

commissaire :

COMMISSAIRE : Aurélie Besson

 

L’exposition Ex Vivo présente des œuvres de deux artistes explorant le processus expérimental du laboratoire. ABSENCES de Sofian Audry est une série d’interventions électroniques in situ dans des environnements naturels et dans diverses régions du monde. Samuel St-Aubin présente deux séries d’œuvres. La première regroupe des sculptures mécaniques itératives construites à partir d’objets du quotidien et la seconde, des dispositifs technologiques extensifs du corps humain semblables à des prototypes d’un avenir proche ou issus de la science fiction.

 

2011 | Centre d’exposition L’imagier, Gatineau (QC_CA)

artistes:

Regroupant le travail vidéo, sonore et installatif de Jason Arsenault et Nelly-Eve Rajotte, Instants fugitifs est une exposition d’arts médiatiques qui sonde de façon poétique ce qu’on pourrait désigner comme étant la tension entre l’aura de l’absence et la présence du spectre. Les différentes oeuvres choisies utilisent les qualités formelles propres aux nouveaux médias pour questionner le rapport que nous entretenons avec notre environnement immédiat qui, de plus en plus saturé d’images et de sons, se voit façonné par la prépondérance des nouvelles technologies.

Qu’elles soient immersives ou réactives à notre présence, qu’elles mettent de l’avant leur interface ou la dissimule, qu’elles sondent l’univers mythique des westerns américains ou nous confrontent au regard d’une inconnue, les oeuvres d’Instants fugitifs nous plongent d’abord dans un état de contemplation. Puis, elles nous amènent à réfléchir sur les empreintes ou les traces que laissent sur nous les informations audio et visuelles qui nous enrobent au quotidien, sur la façon dont elles modulent notre imaginaire.

Jason Arsenault et Nelly-Eve Rajotte sont tous les deux membres de l’organisme montréalais perte de Signal, un centre de production, de recherches et de développement en arts médiatiques dont les projets de diffusion préconisent une approche expérientielle des arts numériques et cherchent à en repenser les modes de présentation.

– Ariane De Blois

2012-2013 | Drummondville, Montréal, St-Jean-Port-Joli (QC_CA)

artistes:

 

commissaire:

  • Charlotte Panaccio-Letendre

Impermanence présente un corpus d’œuvres photographiques, vidéographiques et installatives. L’exposition traite d’un sujet abordé abondamment en arts : celui de notre environnement, des manières d’appréhender le paysage et de notre rapport au monde. Le paysage moderne se donne à voir sous l’angle de la précarité et de l’impermanence afin de réitérer la pertinence au sein des préoccupations de l’art actuel.

2012 | BIAN, galerie Joyce Yahouda, Montréal (QC_CA)

artistes:

L’exposition Confluence rassemble les œuvres de 6 artistes de perte de signal qui ont fait de la vidéo leur médium de prédilection. Ce projet est réalisé par des artistes montréalais qui participent au développement des nouvelles pratiques en arts médiatiques tant au Canada que sur la scène internationale. Ici, le support fait office de liant dans une exposition qui vise à représenter la diversité des pratiques vidéographiques, le but étant d’attester l’innovation des démarches artistiques que ces artistes mettent de l’avant depuis plusieurs années. Confluence est une chorégraphie vidéographique proposant un parcours qui confronte le visiteur à des images en mouvements. Les œuvres tentent de saisir/retenir les bribes d’un flux incessant d’information numérique. L’incertitude et l’instabilité sont reflétées dans ces vidéos qui se trouvent à la confluence de l’abstraction et de la figuration.

2007 – 2009 | Saint-Jérome, Saint-Hyacinthe, Montréal (QC_CA) Toronto (CA), Trieste (IT), Augsburg (DE)

Trace est un projet collectif d’installation d’art numérique. Oeuvre à volets multiples, Trace explore plusieurs facettes d’une même idée. Trois éléments sculpturaux, autant de regards jetés sur une expérience du quotidien qui se vit dans la transformation de l’espace privé. Ampoules, filage, textiles, teintures et boulons s’entremêlent, portant en eux toute la fragilité des lieux habitables. La réalité y est ainsi détournée, révélant l’aspect éphémère d’une mémoire qui s’efface au gré du renouvellement de la sphère domestique.

Ce projet a été réalisé dans le cadre du programme de recherche-création PROJET ÉMERGENT.

2007 | Galerie Expression, Saint-Hyacinthe (QC_CA)

artistes:

PROJECTILES convie le visiteur à vivre une  expérience à la fois visuelle et sonore. On le sait, perte de signal se comporte comme un laboratoire de recherche qui se penche fort judicieusement sur les possibilités qu’engendre l’utilisation de l’ordinateur, approche on ne peut plus pertinente considérant l’envahissement du numérique dans chacune des sphères de la société. Les membres de ce collectif réalisent des oeuvres installatives, vidéographiques et sonores qui questionnent l’origine et la portée de ces signes réduits à leur plus simple expression, l’image et le son. Puis, le corps du spectateur qui circule, interagit, entend, perçoit, ressent.

2005-2007 | Mont-Laurier, Québec, St-Jérome (QC_CA), Sudbury, Ottawa, Toronto (ON_CA)

artistes:

Les artistes derrière le projet d’exposition Cubicules se sont dotés d’une contrainte commune qui consiste essentiellement à repenser le format de leurs oeuvres en très petites installations, tels de petits objets vidéo.

Cubicules ne propose pas tant des objets à contempler, mais plutôt des démarches d’artistes privilégiant l’expérimentation qui vise à renouveler la pratique en arts médiatiques. Ces installations vidéo explorent de nouvelles formes de sensorialité et de lecture de l’image en mouvement tout en créant des environnements singuliers, des lieux de rencontre entre l’être humain et la machine.

Penser l’installation vidéo dans l’espace en fonction de son format est ce qui a amené les artistes à proposer des interventions qui permettent de repousser les limites de leur création. Cette instigation collective transparaît dans la démarche de chacun des artistes. L’exposition a été présentée au Centre d’exposition de Mont-Laurier, à la Galerie du Nouvel-Ontario, au Festival Images de Toronto, à la Galerie d’art d’Ottawa, à la Bande Vidéo de Québec. Le Musée d’art contemporain des Laurentides a accueilli la dernière présentation du projet et le lancement de la publication en janvier 2007.